¤~ Templier ~¤
Noah Demesline
| Sujet: Noah Demesline Sam 19 Nov - 12:43 | |
| Noah Demesline« Il faut croire au Créateur pour avoir foi en l'humanité »
Humain |
LA GLOIRE D'UN ETRE
Nom : Demesline Prénom(s) :Noah Genre : Homme Age : 23 ans
Lieu de naissance : Orlaïs, à Val-Royeaux
Statut Social/Profession : Templier
OMBRES & LUMIERES Qualités : Affable - Dévoué - Discipliné - Courtois - Altruiste
Défauts : Sensible - Pudique - Trop sage - Idéaliste - Opiniâtre
Secret(s) :
Anecdote(s) : Noah a toujours voulu devenir templier. Lorsqu'il était petit, il s'amusait à courir après les poules, devenant ainsi le justicier qui pourchassait les apostats. A la fin, c'est lui qui se faisait chasser par les coqs.
Il semble avoir une propension naturelle à être qualifié d'"adorable" par la plupart des gens, un adjectif qu'il a appris à détester au fil des années.
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Andrasté la Divine " La magie doit servir l'homme, et non l'asservir. Bien méprisables sont ceux qui ont retourné Sa manne contre Ses enfants. Ceux là seront nommés maléficiens et leur nom sera maudit ; Ils ne connaitront le repos ni en ce monde, ni dans l'au-delà. "
Ni un éphèbe subjuguant, ni le plus rebutant des freluquets, Noah fait partie intégrante de cette catégorie de personnages que l'on qualifie d'"adorables", et ce pour son plus grand malheur. Peut-être est-ce cette sincérité virginale saupoudrée d'une once d'innocence, ou l'éclat utopiste au plus profond de ses prunelles, qu'importe, il semble être condamné à demeurer la cible des railleries infantiles de ses proches comme de ses antagonistes. Un fait auquel il n'a jamais trouvé aucune explication en dépit d'avoir consciencieusement médité sur la question, la résignation fut donc un compromis à défaut de se renfrogner à longueur de temps.
La physionomie du jeune homme ne porte pas en ses traits l'âpreté ou l'outrecuidance, son expression usuelle est naturellement emprunte d'écoute et d'affabilité, ce qui lui octroie une proximité innée envers la plupart des gens. A l'instar d'un jeune lion dans la fleur de l'âge, sa crinière d'une mi-longueur arbore une teinte blonde cendrée à laquelle il lui arrive de livrer bataille pour en dresser les épis rebelles. Ces mêmes houppes obstruent parfois la vision d'un regard au dégradé complexe, allant d'une couleur miellée à une nuance verte céladon au gré de la luminosité. Fréquemment, la lueur amène dans ses yeux mue en une résolution pieuse, lorsque son devoir se doit d'être accompli en dépit de toute considération extérieure. Puis, un nez fin et des lippes charnues, presque féminines, qui s'efforcent de faire risette le plus souvent possible. Sous celle-ci, une discrète barbiche vient à l'encontre de l'éventuelle féminité précédemment citée, elle lui ploie une certaine élégance proprement aristocrate. Peut-être que par la suite, il fera le choix de porter une barbe, il y songe à force de devoir débarrasser ses joues de tout superflu par souci de bonne présentation. Mais loin de lui l'idée de désirer ressembler à un nain, un aspect physique qui risquerait de contrarier une contenance noble qui autrement que se traduire par sa bienséance, se remarque lorsqu'il est habillé en civil. Ses vêtements sont tissés des soieries les plus distinguées, aux arabesques généralement discrètes mais à la facture vraisemblablement excellente. Ces tissus cintrent une taille fine qui s'évase pour offrir un thorax plus épais et aux ébauches visibles sans être trop saillantes. Une anatomie robuste construite par l'entrainement chantriste, sans qu'il ne soit pour autant devenu un monstre de musculature. Au contraire, sa galbe reste élancée en portant les marques d'un corps masculin. Comme autre marque, une partie de son bras gauche est orné d'un tatouage dont lui seul détient la signification, un alliage de différents symboles qui régissent son existence, intégrant notamment le sceau de sa famille.
Si Noah apprécie être convenablement vêtu, il ne peut résister à la prestance qu'offrent les armures. Leurs formes, leurs couleurs, leur histoire, tout en elles le fascine. Contrairement à l'imposante protection règlementaire qu'il porte en tant que templier, il aime les métaux légers qui lui permettent une fluidité de mouvement. Mais la majorité du temps, il préserve ces merveilles de l'artisanat de tout Thédas dans sa demeure d'Orlaïs, où sa collection ne risque aucun désagrément ni éraflure.
C'est un homme qui prend autant soin de ses affaires qu'il ne le fait avec autrui. Sa vie de fervente servitude, il l'a choisie et rien ne lui convient plus que de servir les desseins du Créateur. Elevé dans une famille andrastienne, c'est la philosophie du Cantique qui lui a inspiré nombre de ses réflexions et a influencé sa vision des choses. La Chantrie jouit d'une place considérable dans l'estime du jeune homme, et peut même se vanter d'être l'un de ses principes majeurs. C'est dans ses patenôtres qu'il trouve la quiétude et la force nécessaire pour entamer chaque aurore avec une volonté nouvelle et il a pour marotte de souvent faire référence à l'éthique qu'enseigne la religion. Un quidam d'esprit, qui apprécie les conversations constructives desquelles il peut apprendre de nouvelles choses. Conscient d'être encore à l'ère de l'apprentissage, tout ce qui peut venir renchérir sa culture est bon à prendre et matière à se fonder une opinion. Outre cet intellect qui en fait quelqu'un de très circonspect, il lui serait impossible de se résigner à une vie uniquement méditative, car il aime tout autant l'action. Le combat est un art qui l'a toujours fasciné et qui est devenu sa façon de prouver sa dévotion. Toujours prompt à user de son arme, Noah déteste être relayé au second plan, c'est la raison pour laquelle il est un membre actif et volontaire de son Ordre. Bien qu'il soit de ceux qui privilégient la stratégie avant d'agir, la fougue de son jeune âge le porte parfois à quelques élans d'impulsivité qu'il maîtrise suffisamment pour ne pas outrepasser les limites, mais pas assez pour s'éviter des situations aussi incroyables que désagréables. Mais même si le destin semble souvent se jouer de lui, la chance finit toujours par lui sourire dans ses malheurs.
Bien que son travail ne soit pas des plus simples, il s'y consacre corps et âmes. Les mages ? Il les considère comme des personnes en mal qu'il tente d'aider de son mieux. Loin de n'être qu'une figure d'autorité, il prend plaisir à entretenir une relation de confiance avec ceux dont il est le geôlier. Quant aux apostats et maléficiens, que le Créateur ait pitié d'eux dans sa grande mansuétude, car Noah lui fait office de bras vengeur. S'il se montre compréhensif avec les premiers, les mages du sang ne bénéficient au contraire d'aucune miséricorde. Il les traque et les occis par la volonté du divin, un sujet épineux sur lequel il demeure intransigeant.
Lorsqu'il n'est pas un digne représentant des templiers, Noah redevient un aristocrate orlésien d'une distinction visible, mais toujours prêt à rendre service à son prochain. Ses origines nobles le convient fréquemment à flagorner avec ses condisciples lors de soirées mondaines ou autres rencontres officielles, dans le but principal d'être un symbole actif de sa famille pour contribuer à sa bonne notoriété. Une besogne parfois trop mièvre à son goût, mais nécessaire pour toutes relations politiques. D'une vision plus générale, il reste un jeune homme qui aime à plaisanter, ni tout à fait un enfant, ni entièrement un adulte
Et le Créateur apparut "Rien n'est infini ici-bas. Ce que gagne l'un, l'autre le perd. Qui vole son prochain porte atteinte à son être et à son esprit. Notre Créateur le constate le coeur lourd. "
- 9:36 de l'Age du Dragon / Quartier des Templiers dans la Tour du Cercle de Férelden - Journal de Demesline Noah
Je semble être en proie à de bien étranges maux en cette nuit de déluge. Les feulements de la foudre m'empêche de trouver le sommeil, il m'est impossible de m'assoupir sans être tiré de ma narcose dans un terrifiant soubresaut. Le Créateur sait pourtant que j'ai passé l'âge des caprices nocturnes, mais il semble me contraindre à l'introspection. Sous la frêle lueur d'une bougie partiellement rongée par le temps, je n'ai donc trouvé autre occupation que de donner l'expression à ma plume, bien que j'ignore encore ce que celle-ci me révélera.
Aujourd'hui fut une journée sans réels rebondissements, rythmée par les déplacements incessants de nos protégés attelés à leur éducation magique. Il y eut bien ce court débat sur ces Fraternités de mages, les maudites qui prônent une émancipation de la Chantrie et qui comptent de plus en plus d'adhérents. J'ai surpris la conversation de ces deux apprentis qui traitait de ce sujet, leurs opinions extrémistes semblaient tout droit inspirées d'une influence démoniaque, si bien qu'il m'a fallut les exhorter à retourner à leurs manuels pour éviter tout conflit verbal. Qui suis-je pour les blâmer ? Tant que leurs paroles ne muent pas en actes, je n'ai point de commentaire à y apporter. Suite à mon rapport, je sais que le Chevalier-Capitaine veillera à garder un oeil avisé sur eux. Si ce n'est cela, il y eut l'arrivée d'un nouveau pensionnaire, un très jeune garçon, vêtu de beaux vêtements et vraisemblablement dépassé par les évènements. J'ai ouï-dire qu'il était originaire d'une riche ville d'Orlaïs, bien que je n'en sache pas d'avantage, pas même du pourquoi de sa présence en Férelden. Sans doute prendrai-je le temps de converser avec lui pour en apprendre plus, et le rassurer. Mais, cela me fit repenser à mon foyer.
Combien de ces chérubins ai-je vus interceptés par ces hommes d'acier, les pionniers de la Justice. Je me souviens encore de nos voisins de l'époque, cette petite fille dont je partageais le même nombre d'années, huit peut-être ? Je ne m'en souviens plus exactement. En revanche, je revois mon père, lui-même templier, sur le palier de leur porte, entouré de quelques-uns de ses collègues. Je voyais, cette petite fille retenue contre son gré, sa mère effondrée dans des larmoiements. Elle fut emmenée, m'adressant un geste d'au revoir de la main en prononçant mon prénom. Je posa alors des questions à mon père, celles qui auraient germé dans l'esprit de tout enfant témoin d'une telle scène. Ce fut la première fois que j'entendis les mots Mages, Cercle et Apostats. En Orlaïs, lieu de ma naissance, la Chantrie porte une telle influence que le peuple, bas comme noble, s'était entiché des soldats andrastiens, à juste titre d'ailleurs. Honneur et intégrité, telles étaient leurs vertus dans les esprits, le mien également. Jamais je ne revis ni n'entendit parler de cette petite fille, aujourd'hui encore, j'ose conjecturer sur ce qu'elle a bien pu devenir. Elle ne fut néanmoins pas la seule à disparaitre de la sorte, mais telle était la volonté du Créateur, il ne pouvait en être autrement.
Il me serait impossible de nier que mon père a influencé sur les grandes décisions de ma vie. Peut-être n'aurais-je jamais suivi ses traces s'il n'avait pas été templier ? La cause à laquelle il s'était dévoué était juste, bien qu'elle me privait de présence paternelle. Jamais je ne lui ai tenu rancune de ses éternelles absences, car lorsque je fus en âge d'écrire, nous prîmes l'habitude d'échanger de longues lettres auxquelles je me raccrochais. Une précieuse marotte à laquelle je tenais plus qu'à mon épée de bois avec laquelle je m'entrainais déjà. Par amour pour ce héros et modèle, Mère et moi-même avions décidé de quitter notre patrie pour nous installer dans la contrée de Férelden, à Dénérim. Mais, je fus souvent amené à demeurer à Golefalois lorsque les permissions de Père approchaient, pour ainsi lui épargner la traversée du pays. C'était un homme doux et protecteur, disposant d'une barbe dont je jalousais l'existence, qui s'évertuait de m'offrir la meilleure éducation qui soit. Jamais il ne manquait une opportunité pour nous rejoindre, parfois, je pouvais lire l'anxiété sur son visage, et l'entendais confier ses craintes concernant les maléficiens à son épouse. Ce fut pour lui, avant tout, que je fis le candide serment d'attraper tous les apostat de Thédas, pour que plus jamais il ne soit opprimé par leur dangerosité. Le désir de servir les intérêts de la Chantrie se décupla avec le temps, de ressembler à mon père, aussi, et de le rendre fier. Aujourd'hui, j'offrirai mon âme pour avoir la certitude de sa fierté, car je n'eus jamais l'occasion de la vérifier.
« Je pars à la suite d'un maléficien, dans le sud. Veille sur ta mère en mon absence, et n'oublie pas d'adresser tes prières au Créateur chaque soir. Sois sage, mon fils. »
Ce furent les dernières paroles qu'il m'adressa, sans que plus jamais il ne revint. Longtemps j'attendis son retour, sans que la résignation ne m'étreigne, sans que sa mort ne soit officiellement déclarée. Deux années s'écoulèrent, j'avais alors seize ans lorsque l'affliction eut raison de ma douce génitrice. Deux ans durant lesquels elle avait tout intériorisé, deux ans d'espoir qui s'immolèrent par la peine. Nous sommes rentrés en Orlaïs, ma mère trouva son réconfort dans le Cantique et auprès de la Grande Divine. Peu de temps après, elle prononça ses voeux et devint une Soeur de la Chantrie. Quant à moi, je nourrissais la poursuite de mon rêve, celle d'entrer un jour dans l'Ordre des Templiers. J'avais entamé ma formation depuis seulement quelques semaines lorsque j'appris la terrible menace qui ravageait Férelden. Les engeances, l'enclin, l'archidémon, et la mort du roi. Indénombrables prières, que j'adressais alors au Créateur et à son épouse spirituelle, pour les âmes des victimes de ces créatures et le salut du monde. C'était tout ce que j'étais en mesure de faire, de plus, l'enclin était un fléau d'une envergure sous-estimée pour les contrées qui ne se sentaient point concernées. Esseulé de toute société pour me dévouer à mes entrainements, cette pandémie viscérale n'exista pour moi qu'à travers les dires de nos supérieurs, je n'eus l'occasion d'en constater la désolation que lors de mon retour en ces terres, il y a à peine quelques années. Les Gardes des ombres méritent notre déférence, que le Créateur leur accorde sa miséricorde pour leurs péchés, si cela est encore plausible.
Quelle liesse lorsque je fus intronisé templier à la fin de ma formation, ma famille me réserva un accueil digne d'un véritable prince. Ma mère fut autrement fière de me voir ainsi au service de notre bien aimée divinité, bien qu'elle nourrissait en secret la crainte de ne jamais me voir revenir, moi non plus. Car bien que fervent chauvin de mon pays, c'était en Férelden que je désirais servir, dans l'espoir d'apporter mon soutien à la réhabilitation du peuple. Par Andrasté, j'ignore si ma présence a été source d'un quelconque bien en ces terres, je le souhaite. Je suis encore retourné à la Chantrie de Dénérim, il y a deux semaines de cela. J'ai profité de ma permission pour prêter main forte aux Frères et Soeurs du Cantique, ceux qui oeuvrent pour les orphelins de l'enclin qui arrivent encore, même cinq ans après. Je pense que les enfants sont heureux de m'apercevoir de temps à autres, ce qui est réciproque. Outre ma contribution à l'harmonie du Cercle, je pus vivre ma première traque à l'apostat. Cela remonte à il n'y a pas si longtemps en y réfléchissant, mais je m'en souviens comme si ce fut hier. Le Chevalier-Capitaine avait veillé à ne pas envoyer de fraiches recrues à la suite de dangereux maléficiens, raison pour laquelle nous dûmes seulement récupérer un apprenti trop ambitieux de liberté. Il ne nous fallut que deux jours pour le rattraper et le ramener, mais si cette mission m'avait paru fort aisée, les suivantes me laissèrent une saveur âcre. Tous les templiers n'étaient pas garants des mêmes valeurs, pour certains, les mages ne représentent que du bétail, des animaux qu'il nous faut occire sous simple suspicion de rage. Je ne suis pas convaincu que le Créateur souhaite voir ces crimes exécutés en son nom, c'est la folie de l'humanité qui nous a perdu, espérons que cela n'offense pas le divin. Ce n'est certes pas à moi d'en juger, je continuerai à agir selon ce qui me semble être juste. Je ne suis point le loup avide de se repaitre de la chair du troupeau, je ne suis que leur berger. Selon mes aînés, je ne suis encore qu'un jeune utopiste... Tout est relatif.
Par la Sainte Urne Cinéraire ! Un éclair vient encore de me surprendre, ma conscience n'est pas en paix pour se laisser effrayer de la sorte. Pour cause, je me perd dans la contemplation de cette liasse de missives qui repose non loin de mon alcôve. Si quelqu'un d'autre me l'avait conté, je ne l'aurais jamais cru. J'ai dû recevoir la première lettre il y a sept mois, ornementée d'une écriture cursive et presque irrésolue dans ses propos. La griffe qui en clôturait le récit ne m'était de loin pas inconnue... Par Le Créateur, elle avait été calligraphiée de la main de Père. Si je crus tout d'abord à une boutade de mauvais goût, je fus contraint de me rendre à l'évidence... Les références faites tout au long des écrits, nul n'aurait pu les savoir, si ce n'était lui. C'était étrange, aucune adresse, aucune demande de réponse, seulement des éloges mêlées à des citations du Cantique, et à d'innombrables demandes de pardon. Qu'était-ce ? Pourquoi ? Je n'ai pas de réponse. Depuis, j'en ai reçues d'autres, non différentes des autres, sans jamais aucun indice sur son lieu de vie, ni même sur lui-même. Je n'ai pas encore eu le courage de partager ce secret avec Mère, je crains que cela ne la foudroie sur place. Je me refuse de lui donner l'espoir d'un époux encore de ce monde sans preuves. Ces missives régulières m'ont encouragé à entamer des recherches sur cet apostat que Père était parti pourchasser... Le Chevalier-Capitaine Greagor en sait plus, ils se connaissaient, ils oeuvraient ensemble Père et lui. Mais jamais il n'acceptera de se confesser à moi, il n'est pas inepte. Je me dois de garder ce dessein pour mes prières et moi-même.
Qu'entends-je ? Qui peut donc courir dans les corridors à une heure aussi avancée ? Je ferais mieux de descendre vérifier que tout se passe bien, cela aura au moins l'avantage de m'occuper l'esprit. Je me remettrai à mes écrits plus tard, si le sommeil persiste à ne pas venir.
Roleplayeur
| JE TE VOIS ! Comment ça va ? : Très bien Tu es sûr(e) ? : Euh oui, mais arrêtez de me regarder comme ça... Bon bon, si tu le dis. Et tu as autre chose à dire, d'ailleurs ? : J'ai peur Comment es-tu arrivé(e) parmi nous ? : Par l'opération du Saint Esprit
Si je te dis... Rouge, tu réponds ? :Mage du sang Et violet ? :Une violette Bon, j'arrête de t'embêter... Ou pas ! : Je veux partir...
Mais si, bienvenue et bon jeu !
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