Dragon Age Roleplaying : Votre Légende
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Elween Teldaras [En Cours]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Elween Teldaras

Elween Teldaras

Messages : 2

~~ Codex du personnage ~~

¤ Age
: Vingt-six ans.

¤ Informations
:

¤ Arme(s) Fétiche(s)
:

Elween Teldaras [En Cours] Empty
MessageSujet: Elween Teldaras [En Cours]   Elween Teldaras [En Cours] EmptyJeu 1 Déc - 23:23

Elween Sybille Teldaras
« Frappe. Si vite qu'ils n'auront pas le temps de voir. Frappe, c'est ta seule chance. »

Avatar 200*350

Elween Teldaras [En Cours] 897143ween

Garde des Ombres


    LA GLOIRE D'UN ÊTRE


    Nom : Il y a très peu de chance que vous l’appreniez, Ween fait tout son possible pour garder le semblant d’anonymat qu’elle possède. Toutefois, si vous êtes éloquent et que vous finissez par vous attirer sa confiance, elle vous confiera qu’elle est la dernière descendante des Teldaras.
    Prénoms : Elween, bien que son prénom soit généralement raccourci jusqu’à ne compter qu’une seule syllabe, Ween. Comme le voulait la tradition familiale, elle en a hérité d’un second qui vient de sa défunte mère, Sybille ; néanmoins elle ne l’utilise jamais, là encore pour des raisons pratiques.
    Genre : Femme.
    Âge : Vingt-six ans.

    Lieu de naissance : De façon vague, on pourrait dire qu’elle est née à Dénérim, la capitale de Férelden. Pour plus de détails, se référer à sa biographie.

    Statut Social/Profession : De par sa naissance, Ween était une Noble, c’est un statut social qu’elle a totalement renié suite aux différentes tragédies qui ont frappé sa famille. Aujourd’hui, elle occupe le poste de Garde des Ombres, en tant qu’éclaireuse.






    OMBRES & LUMIÈRES

    Qualités : Altruiste Déterminée Combative Fière Autonome Extravertie Aimable A l'esprit ouvert Dotée d'une grande capacité d'adaptation Observatrice Réaliste Bon vivant Calme en état de sobriété Doit ingérer de fortes doses d'alcool pour en sentir les effets Sait se débrouiller pour soigner des blessures mineures et des infections ou des maladies.

    Défauts : Téméraire Détestable lorsqu'elle n'est pas dans un bon jour Parfois hautaine A tendance à foncer avant de réfléchir, à frapper avant de poser des questions Brusque Bruyante lorsqu'elle est saoule Se montre de temps en temps intime avec de parfaits inconnus Provocatrice Contrairement à son éducation, elle agit généralement comme une roturière. Horriblement rancunière.

    Secrets :
    Depuis qu’elle a côtoyé des Chasinds, et ce pendant plusieurs années, Ween s’est découvert un faible conséquent pour ce genre d’hommes. Virils, violents : sauf qu’elle ne se laisse pas pour autant marcher sur les pieds.
    Elle a eu des expériences avec les deux genres et doit admettre avoir une nette préférence pour les messieurs.
    C’est une chasseuse émérite, capable d’attraper n’importe quel gibier. Ou presque.
    Depuis qu’elle a assisté à la mort de son mabari, elle n’ose plus s’approcher de ces animaux. Lier un nouveau lien, aussi fort et fusionnel, lui paraît impossible et douloureux à envisager.
    Les mages ne représentent pas tous une menace à ses yeux, quoi qu’en pense la Chantrie. Et pourtant, elle a été témoin de démonstrations magiques dévastatrices et sanglantes.
    A ce sujet, elle fait encore régulièrement des cauchemars qui l’empêchent de trouver le sommeil ; c’est la principale raison qui fait qu’elle ne dort qu’un nombre très limité d’heures par nuit. Et depuis qu’elle est devenue Garde des Ombres, disons que les choses ne vont pas en s’arrangeant.
    Elle dispose d’une petite fortune conséquente dont elle a hérité au décès de son frère aîné, dernier dépositaire de la fortune familiale. Mais elle n’y touche pratiquement pas, sauf pour réparer ses armes/armures ou pour s’acheter des flèches. Elle a tendance à penser que cet or porte malheur.
    Ween n’est définitivement pas croyante. Le Créateur qui aurait laissé Andrasté se faire cramer par le peuple ? Si c’est ça, la vérité, alors mieux vaut ne pas s’attirer les Faveurs de ce dieu impitoyable. La vie est déjà bien assez violente comme ça. Toutefois, il est parfois préférable de prétendre le contraire pour ne pas se faire lapider.
    Il lui arrive de rêver qu’Ariana est encore en vie, quelque part. Et cette simple pensée la fait trembler d’effroi.
    Même si elle paraît avoir embrassé la carrière de Garde des Ombres par dépit ou sur un simple coup de tête, il n’en n’est rien. C’est une décision mûrement réfléchie qui a été fortement influencée par les récits épiques qu’elle entendait à leur propos quand elle était enfant ; un peu de rêve, de l’espoir, de la gloire et la possibilité d’influencer le cours du temps.


    Anecdote(s) :
    Sa mère était une fervente croyante, et une pratiquante assidue. Elle se rendait tous les jours à la Chantrie afin de prier le Créateur d’être clément avec sa famille et de lui offrir une belle descendance, nombreuse et en bonne santé. Lorsqu’elle était enfant, Ween était obligée de la suivre et alors que Sybille passait d’interminables heures agenouillée à méditer, elle finissait par s’endormir dans un coin et était bien souvent réveillée par une sœur de la Chantrie, sous le regard réprobateur de sa génitrice. L’atmosphère lourde, pesante, de ces lieux dits « sacrés » lui donnent toujours autant envie de dormir.

    Son mabari, Lashar, était le seul être auquel elle confiait ses craintes et ses espérances. Le jour où sa sœur aînée fut envoyée au Cercle, il fut là pour veiller sur elle et devint son plus fidèle protecteur. L’un des souvenirs les plus colorés de son adolescence est certainement celui du bain. Alors qu’elle faisait sa toilette, juste avant d’aller se coucher, l’animal désirant jouer avait renversé le broc d’eau sur le sol et s’était amusé à laisser des traces de pattes humides dans toute la chambre, y compris sur les draps épais. Une facétie qui n’avait pas particulièrement plu à sa mère, qui n’était pas ravie qu’un chien de guerre se lie ainsi avec sa dernière-née et qu’il la côtoie d’aussi près en permanence. Ween avait passé la nuit à tout nettoyer, grondant et pestant contre son compagnon qui, au bout de plusieurs heures, avait finalement daigné la rejoindre dans sa corvée. Ils avaient fini par s’endormir l’un contre l’autre, l’enfant blottie contre le mabari et ronflant comme des bienheureux.




Physique & Caractère


A première vue, Ween ressemble à son père. C’est un compliment qu’elle a régulièrement entendu à son sujet, bien qu’elle ne l’ait pas toujours apprécié à sa juste valeur. Dire à une fillette qu’elle ressemble à un homme, c’est assez vexant au final. Le menton volontaire, le regard en permanence allumé d’une lueur aventureuse, les sourcils peu expressifs, la bouche pleine et appelant au rire. Tant d’infimes détails qui la rapprochaient indéniablement de son géniteur plutôt que de sa mère. Pourtant, avec le temps, l’adolescence vint chambouler ce joli tableau en y mêlant certains traits purement maternels. La haute taille – un mètre quatre-vingt, ou presque – et des formes malgré tout féminines comme une poitrine rebondie quoi que pas réellement imposante ou gênante, un postérieur bien dessiné et une physionomie toute en finesse. Telle une liane qui croît et se délie, le corps enfantin de la jeune Noble a subi d’importantes modifications avec l’âge, chose qu’elle a remarqué le premier jour où l’on a fini par la comparer à sa mère.

Malgré ce corps désirable – et loin d’être indécent – les regards se posent toujours sur son visage en premier lieu. Nul doute que les iris inquisiteurs de la belle y sont pour quelque chose… D’un bleu abyssal, ils ne dévoilent jamais les réelles intentions de leur propriétaire. Ces deux saphirs bruts peuvent aussi bien réchauffer par un regard enjôleur que vous pétrifier sur place. On dit que les yeux sont les fenêtres de l’âme, c’est bien ça ? Hé bien concernant Ween, peu de personnes seraient à même de lui tenir tête ou capables de deviner ses pensées rien qu’en l’observant. Les habitudes ont la vie dure, et elle a rapidement apprit qu’il valait mieux prendre un air indéchiffrable pour éviter que les étrangers puissent lire en vous comme dans un livre ouvert. Néanmoins, ses lèvres s’ourlent régulièrement d’un sourire ironique ou d’une moue réprobatrice. Même si elle garde ses véritables émotions pour elle, elle n’est pas capable de n’être qu’une statue de chair plus que quelques minutes.

De part et d’autre de son visage aux traits fins pousse une longue chevelure à l’origine brune, qui a pris des teintes plus cuivrées suite aux longues années passées sous le soleil de Férelden. L’abondante crinière de la jeune femme n’est jamais parfaite domptée, il reste toujours quelques mèches rebelles qui viennent se glisser entre ses deux yeux ou lui chatouiller le bout de son nez droit. Cette toison aux couleurs du soleil couchant n’est pas la seule partie de son anatomie à avoir changé radicalement avec ses épuisantes pérégrinations ; la peau naturellement blafarde de la fière Noble a peu à peu bruni, jusqu’à livrer au regard un hâle quelque peu pâlot, qui s’intensifie plus ou moins selon la saison et la fréquence de ses sorties. Une teinte qui s’est curieusement bien accordée avec le reste de son corps, comme si elle était née ainsi. Sous sa peau roulent de longs muscles parfaitement développés mais peu gonflés par l’exercice. Comme elle aime à le dire, elle s’est forgée à l’air vif des nuits féreldiennes et aux interminables heures de marche en compagnie d’une chamane Chasind. Autres détails qui la rendent unique, la cicatrice qu’elle porte sur la pommette droite – presque invisible si l’on n’y prête pas attention – et les différentes manies, ou tics, qui l’habitent parfois : en état de nervosité, elle bouge toujours les doigts, que ce soit pour tendre la corde de son arbalète ou pour jouer avec le pommeau de ses lames jumelles. Il lui arrive de froncer excessivement des sourcils lorsqu’elle est plongée dans des réflexions brumeuses, et ses lèvres se crispent lorsqu’un élément de son plan ne se déroule pas comme prévu – ce qui arrive plutôt rarement.

En effet, Ween Teldaras s’avère être une stratège relativement douée lorsqu’elle prend le temps de réfléchir avant d’agir. Dernière-née et deuxième fille issue d’un père pour qui la formation militaire valait toutes les études du monde et une mère farouchement croyante ainsi que diablement autoritaire, elle a rapidement été plongée dans le monde de la guerre et des épées. Si elle n’a jamais été autorisée à participer activement à des réunions de famille, en tout cas pas avant d’avoir atteint ses seize ans, elle était vite devenue experte pour laisser traîner ses oreilles un peu partout afin de récolter des informations. De cette connaissance acquise à la dérobée, ainsi que dans les livres poussiéreux de la petite bibliothèque familiale, elle comprit rapidement la nécessité de construire des plans infaillibles pour remporter la victoire ; elle n’a cependant commencé à mettre ce procédé en pratique que bien des années plus tard, lorsqu’elle était en fuite avec son aîné dans les terres de Férelden et qu’ils ne pouvaient compter que sur eux pour s’en sortir. Intelligente, donc, bien qu’elle se qualifie plutôt de « débrouillarde », toutefois elle admet avoir une capacité d’adaptation sacrément véloce pour une fille qui a vécu entre les murs rassurants d’un château. Pourtant, au final, Ween préfère toujours se décider sur un coup de tête plutôt que de passer du temps à paufiner un plan. Excès de confiance ? Peut-être pas, elle sait parfaitement ce qu’elle vaut et ne se jetterais pas la tête baissée dans un traquenard si elle n’avait pas une chance, même infime, de s’en sortir indemne. Mais elle est téméraire, c’est une authentique tête-brûlée qui frappe avant de parler. Sauf cas exceptionnels.

Plus jeune, elle faisait preuve d’une curiosité dévorante qu’elle n’arrivait jamais à réprimer. Elle a appris, avec le temps et les évènements, à la réduire jusqu'à un simple intérêt ; mais il lui arrive encore de se fasciner pour des choses qui n’attireraient l’attention de personne, ou de poser des myriades d’interrogations sur des sujets tous plus différents les uns que les autres. Ween fait toujours un tour dans les librairies lorsqu’elle passe dans des villes, elle a gardé une réelle affection pour les livres et la lecture reste son passe-temps favori qu’elle pratique généralement le soir, lorsque le sommeil tarde à venir. Elle aime en apprendre sur un large panel de domaines, et même les détails les plus infimes n’échappent pas à son œil de lynx. C’est de cette habitude à décortiquer le moindre texte qu’elle a fini par développer un grand sens de l’observation, c’est pratiquement devenu impossible de la prendre par surprise et le fait qu’elle soit sans arrêt sur ses gardes ne facilite pas la chose.

D’enfant turbulente et expressive, elle est finalement devenue une femme sûre d’elle – sans doute trop aux yeux de certains, car elle fanfaronne aisément – qui sait user de tous ses atouts pour accéder à son but. La force brute n’est pas son domaine de prédilection, elle apprécie davantage le frisson de la traque et l’adrénaline que procure une bonne filature. Elle excelle par ailleurs dans cette pratique, elle se déplace pratiquement en silence et pourrait certainement voler la hache d’un nain sans qu’il ne s’en aperçoive. Ou en tout cas, s’enfuir assez vite pour qu’il n’ait pas le temps de faire le lien entre cette discrète inconnue et ladite disparition. Si l’on s’intéressait de plus près à ses butins, il serait aisé de remarquer que Ween est attirée par les objets qui valent chers, ou bien qui brillent suffisamment pour attirer l’œil. Elle ne les collectionne pas, elle se contente de les dérober et de les revendre. Ou encore de les abandonner dans le panier vide d’un mendiant. Elle admet donc volontiers avoir un petit côté « pie voleuse », une activité à laquelle elle se consacre uniquement durant ses jours de repos, ceux qu’elle ne passe pas à battre la campagne pour liquider quelques atrocités ou remplir des quêtes affichées sur les tableaux des cantors… Sans aller jusqu’à dire que c’est une bonne samaritaine, elle essaie toujours de faire pencher la balance du bon côté. Sauf si cela risque de la compromettre ou de la faire tuer, évidemment. Enfin, ça, c’est ce qu’elle essaie de se dire. En vérité, elle a trop bon fond pour rester les bras croisés devant un acte de cruauté, quel qu’il soit. Et qu’importe le rang de la personne en face d’elle.

Malgré le professionnalisme dont elle fait généralement preuve, Ween s’avère être une parfaite compagne de beuverie et sait autant rire que n’importe qui. Et même mieux, selon ses propres dires. On pourrait penser qu’avec tout ce qu’elle a vécu, elle s’est renfermée sur elle-même, qu’elle s’est assombrie, mais c’est plutôt le contraire. Passer autant de temps avec cette vieille chamane lui a permis d’effectuer un travail important sur sa nature d’héritière brisée. C’est à cette période de sa vie qu’elle a refusé de continuer à porter le titre de Noble, renonçant par conséquent au siège qui lui revenait à Dénérim – les Teldaras ont beau ne pas faire partie de la noblesse dorée de Férelden, ils n’en restaient pas moins assez influents et reconnus – ainsi qu’à la possibilité de reconstruire de ses propres mains sa réputation ainsi que celle des siens. Après qu’Ariana eut entaché le nom des Teldaras, elle seule aurait été à même de redresser les torts causés. Mais elle a refusé d’assumer ce rôle. Aux yeux de certains, cela pourrait passer pour de la faiblesse ou de l’irrespect. Mais pour Ween, c’était tout simplement la volonté de ne pas souffrir davantage et l’occasion de recommencer sa vie loin de sa « malédiction familiale » ; au fil des années, sa nature s’est libérée et affirmée. Aucun sujet n’est plus tabou pour elle, sauf celui de son passé, et elle fait parfois preuve d’une vulgarité à faire rougir un Chasind. Et en ce qui concerne l’amour… Ses rêves de prince charmant sur un étalon blanc ont disparus en même temps que son innocence. Elle ne se fait plus d’illusion, elle vit l’instant présent en ne se souciant pratiquement pas du lendemain.



Roleplayeur



Elween Teldaras [En Cours] 3432568211


MoonOfBlood
    JE TE VOIS !

    Comment ça va ? : J'dirais plutôt bien. Oui, j'pense que ça va.
    Tu es sûre ? : Affirmatif !
    Bon bon, si tu le dis. Et tu as autre chose à dire, d'ailleurs ? : Tu veux vraiment savoir ce que j'ai à dire, ou tu poses simplement la question ? Non parce que si tu t'y intéresse, je vais te le dire : j'ai un p'tit soucis d'ordre graphique. Quelqu'un pourrait-il me redimensionner mon avatar ? Que je puisse l'afficher sans problème ? Si y'a des âmes charitables, j'ai laissé les deux images qui représentent mon personnage juste en bas. Oui, là, avec les balises de spoiler.
    Elween Teldaras [En Cours] 324905659

    Comment es-tu arrivée parmi nous ? : En suivant le lapin blanc qui beuglait être en retard. Il a sauté dans tellement de p'tites icônes de partenariat que je ne sais même plus sur quel forum je me trouvais au départ.

    Si je te dis... Rouge, tu réponds ? : J'y crois pas. T'as deviné ma couleur préférée !
    Et violet ? : J'ai une amie qui en est dingue, elle voit la vie en violet.
    Bon, j'arrête de t'embêter... Ou pas ! : Tu n'as même idée de la patience que j'ai.

    Mais si, bienvenue et bon jeu !


Spoiler:


Dernière édition par Elween Teldaras le Ven 16 Déc - 23:46, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas

Elween Teldaras

Elween Teldaras

Messages : 2

~~ Codex du personnage ~~

¤ Age
: Vingt-six ans.

¤ Informations
:

¤ Arme(s) Fétiche(s)
:

Elween Teldaras [En Cours] Empty
MessageSujet: Re: Elween Teldaras [En Cours]   Elween Teldaras [En Cours] EmptyMar 13 Déc - 23:13




Histoire

Chapitre Un.
Naître noble, ça ne donne pas droit à une vie heureuse, riche et longue.
9:10 ▬ 9:30 (début)
Spoiler:

« Je me souviens…

A l’âge de douze ans, j’avais harcelé ma mère pour qu’elle réponde à toutes les questions qui me taraudaient : étais-je une enfant calme ? M’avait-elle attendue avec impatience ? Sa grossesse s’était-elle déroulée dans la joie ou dans la douleur ? Avais-je les yeux bleus, comme tous les bébés nouveau-nés ? A quel âge avais-je prononcé mon premier mot ?
Tant d’interrogations qui, curieusement, m’intéressaient indéniablement. Les éléments de mon passé s’effilochaient, les souvenirs finissaient par perdre leurs couleurs et je désirais les raviver à l’aide de détails arrachés aux personnes qui m’avaient suivie depuis le berceau. J’étais avide de connaissances. »





Damian Teldaras accueillait son quatrième et dernier enfant, comme tous les autres il avait tenu à ce que son épouse accouche dans leur petit manoir de Dénérim. Une sorte de tradition, même si au final ils passaient le plus clair de leur temps dans leur château à l'écart de la capitale. Comme une bonne partie des pères, il affectionnait tout particulièrement les filles et était donc plus que ravi lorsque la sage-femme avait annoncé aux parents qu’une petite fille venait de naître. Et pour être petite, elle l’était. D’aussi loin qu’il s’en souvienne, il n’avait jamais tenu de bébé aussi minuscule entre ses bras. Et pourtant ce n’était pas la première qu’il berçait dès son arrivée dans ce monde ; Ariana, qui se tenait d’ailleurs non loin, avait beau être frêle et menue, elle lui avait paru nettement moins fragile il y a quelques années. Sybille et lui avaient longuement hésité sur le prénom qu’ils allaient lui donner. Tous ceux que sa femme trouvait lui semblaient trop pompeux, elle avait même tenté de lui glisser un Andrasté qui l’avait fait sortir de ses gonds. Ce n’était qu’une boutade, et pourtant il l’avait fermement remise à sa place. Bien que son épouse désirait faire de leur dernière-née une sœur de la Chantrie, il s’évertuait à la faire changer d’avis. Avec plus ou moins de tact. Finalement, alors qu’il s’octroyait un instant de calme dans la bibliothèque, le prénom lui était venu avec une facilité déconcertante. Elween. Il l’avait tout de suite aimé, et si sa femme n’avait pas manifesté le même entrain, ils avaient toutefois fini par s’entendre sur ce choix.

Ariana s’était immédiatement sentie très proche de sa jeune cadette. Bien qu’elles ne soient séparée que de deux ans, elle se complaisait dans le rôle de la grande sœur et prenait toujours grand soin de la fillette qui grandissait peu à peu. Néanmoins Ariana avait compris qu’un jour, Elween serait confiée aux bons soins des sœurs de la Chantrie jusqu’à sa confirmation et qu’elles ne pourraient plus se voir aussi souvent durant cette période. Elle craignait que ce jour ne finisse par arriver, elle tenait tellement à elle qu’elle avait même tenté de convaincre leur père de balayer la décision de sa mère. Mais, même si le vieux guerrier considérait la cadette comme sa merveille, il semblait s’être résigné au fanatisme débordant de son épouse. Et après tout, à ses yeux, qu’elle devienne sœur ne l’empêcherait pas de la voir. C’était le principal.

Mais contrairement à ce qu’Ariana avait longtemps craint, Elween ne fut pas destinée à la Chantrie. Alors qu’elle entrait à peine dans sa neuvième année, la petite fille assista au départ larmoyant de son aînée pour le Cercle des mages. Contrariant les plans maternels, la magie avait élu domicile dans le corps de la fillette et l’avait dotée d’un potentiel dévastateur. Ils n’eurent d’autre choix que de la confier aux templiers et aux mages confirmés, qui se chargeraient de son apprentissage jusqu’à ce qu’elle soit autonome et qu’elle ne soit plus considérée comme un danger pour les siens – certainement l’étape la plus difficile. Ariana avait fêté son onzième anniversaire le mois précédent, et lorsque les soldats en armure étincelante vinrent la chercher, elle ne put retenir ses larmes d’enfant. Les dernières qu’elle verserait.

Cinq ans plus tard, ce fut au tour de Tomas, le deuxième fils de la famille, de faire ses bagages. Il avait, très tôt, émit le souhait de rejoindre les rangs des templiers. Il éprouvait une réelle fascination pour cet ordre guerrier qui, d’après lui, était amplement nécessaire vu la puissance démesurée dont pouvaient faire preuve certains mages. Il avait par ailleurs eut énormément de mal à rester aussi près d’Ariana jusqu’à ce qu’elle se fasse emmener par les soldats, il la considérait comme une étrangère ou, tout du moins, une menace pour les siens. Et les remontrances de Damian n’avaient jamais pu effacer l’air de dégoût qu’il avait manifesté lorsque les pouvoirs de la jeune fille s’étaient montrés pour la première fois. L’unique raison qui avait poussé leur père à accéder à sa demande était la discipline à laquelle il aurait affaire une fois devenu apprenti. Les longues heures d’entrainement, la droiture, la rigueur due à l’utilisation du lyrium. L’enfant capricieux qu’il était devrait grandir et s’assagir. C’était l’espoir qu’il portait lorsqu’il annonça à son fils, alors âgé de dix-huit ans, qu’il lui permettait de rejoindre l’Ordre des Templiers.


Chapitre Deux.
L'Archidémon n'est pas le seul ennemi que l'on doit affronter, non seulement il y a l'engeance, mais aussi nous-même.
9:30 (début) ▬ 9:30 (début)
Spoiler:

« Je me souviens…

Je n’ai jamais été très proche de mon frère, Tomas. Le simple fait qu’il considère Ariana comme un danger me suffisait pour le mépriser, même si j’aurais préféré le contraire. Je tenais réellement à elle, son départ m’avait profondément bouleversée et entendre les longs monologues dédaigneux qu’il me servait parfois me mettait toujours hors de moi. Une fois, je n’avais pas résisté à l’envie de lui coller une bonne gifle bien sentie et il en était resté stupéfait : c’est à cet instant qu’il a compris que je n’étais pas comme lui. Et il m’a oubliée, à mon tour. Ils nous a tous laissés, il a préféré s’engager chez les templiers et faire sa vie comme si Ariana et moi n’avions jamais existées. Je lui en ai voulu un temps mais après, cette rancœur s’est effacée. Et de toute manière, je ne pouvais décemment pas en vouloir à un mort. »





Dans une poignée de jours, Elween fêterait son vingtième anniversaire. Des quatre enfants initialement présents dans la demeure familiale, il ne restait plus qu’elle et Karl, le fils aîné destiné à un grand mariage pompeux avec une fille de haute noblesse. Lorsque les soldats se présentèrent au château, Sybille fut la première à comprendre ce qui était en train de se passer ; les templiers lui annoncèrent le décès de son fils, Tomas, et exprimèrent leurs plus sincères condoléances. Elle leur ferma la porte au nez, dissimulant sa peine derrière un masque de rage et de rancœur. Après Karl, Tomas avait été son enfant préféré. Bien qu’un peu trop orgueilleux et prompt à la colère, c’était un fils aimant qui donnait régulièrement de ses nouvelles malgré son travail plus que prenant. Mais aujourd’hui, elle l’avait finalement perdu. Toute à son tourment, elle n’avait pas songé un seul instant à connaître les circonstances de sa mort. Si elle l’avait fait, elle aurait appris qu’il s’était lancé à la poursuite d’un maléficien, avec quatre autres camarades templiers, et qu’une patrouille partie à leur recherche avait retrouvé sa dépouille atrocement mutilée… C’était le seul qu’ils aient retrouvé, les autres corps manquaient à l’appel et les charognards ne les avaient, de toute évidence, pas fait disparaître. A l’époque, ce mystère avait rapidement été enterré et on invitait les curieux à chercher d’autres secrets à déterrer que celui-ci. Néanmoins, après l’Enclin, la vérité finirait par éclater. Tomas et ses amis furent les premières victimes de l’engeance…

Après les longues funérailles, Sybille paru reprendre du poil de la bête et Damian pu enfin se replonger dans ses entrainements sans craindre de la voir s’effondrer à tout moment. Car malgré toute l’affection qu’il pouvait lui porter – dans les meilleurs moments – il se sentait toujours plus à l’aide seul, ou accompagné de ses enfants, avec l’arme à la main et l’adrénaline enflammant son sang dans ses veines. Avant de se marier, il avait vécu comme un guerrier avant de s’entendre dire qu’il lui fallait désormais apprendre à être « l’homme de la maisonnée » ainsi que toutes les attributions qui pourraient s’ajouter à ce nouveau titre. Après la guerre contre Orlaïs, durant laquelle il avait servi aux côtés de Loghain – chose dont il ne parle toujours que très peu – il avait accueilli cette pause avec félicité, rangeant son arme et déposant son armure dans un coin, avec des vieilleries recueillies au fil des ans. Mais aujourd’hui, avec le décès largement prématuré de son fils et les étranges rumeurs colportées par les marchands… Damian avait donc pris la décision de ressortir son arme et de se tenir à la disposition du roi au cas où ce dernier déciderait que son armée nécessiterait un peu plus de bras. Tous ses enfants, y compris Ariana et Elween, connaissent des rudiments de maniement d’armes – épée ou arbalète, selon le choix de l’enfant – afin de pouvoir se défendre en cas de nécessité… Et lorsque la cadette se rendit compte de la détermination dont il faisait preuve, elle comprit que son monde commençait déjà à changer, à s’assombrir. Dans sa vie dorée, elle n’avait connu pour seuls ennuis que les affres de la vie d’une héritière de la noblesse, des banquets interminables et des mariages arrangés, ou en tout cas fortement influencés. Elle avait, par chance, échappé à la période post-guerre où la méfiance était de mise envers chaque étranger ou personne venant d’Orlaïs. Elle n’avait jamais eu à se protéger de qui que ce soit désirant attenter à sa vie et les seuls soldats qu’elle côtoyait se comptaient sur les doigts des deux mains : pour la majeure partie, il s’agissait d’amis de son père ou de feu son frère Tomas. Alors maintenant qu’elle pouvait voir et sentir la tension monter, elle perdait peu à peu son innocence. Mais jamais, à cette époque, elle n’aurait pu imaginer ce qui allait se passer ensuite. Et tout ce qu’elle allait perdre.


Chapitre Trois.
Quoi que l'on puisse dire, ce n'est pas toujours le mage qui est faible mais le monde qui l'affaibli, qui le pousse dans ses retranchements.
9:30 (début) ▬ 9:30 (milieu)
Spoiler:

« Je me souviens…

La mort de mon père marqua la fin de mon innocence. Je n’avais jamais envisagé le fait qu’il puisse périr ainsi au combat, la guerre paraissait si loin à mes yeux… Comment aurais-je pu deviner que les engeances étaient déjà là, grouillant et se multipliant à une vitesse terrifiante ? L’Enclin… C’était une menace que nous n’étions pas préparés à affronter. Et avec la mort de Cailan, les choses n’étaient pas destinées à s’améliorer. Karl et moi avions été obligés de quitter le château lors de l’attaque des bandits, laissant notre mère derrière nous et fuyant quelque chose qui nous poursuivrait toute l’année. La peur d’agir et de faire face. Nous n’étions rien que des enfants, nous n’aurions pas dû brandir l’épée et trouver le courage d’affronter des engeances ou d’autres ennemis tout aussi redoutables. A vingt ans, les femmes se mariaient dans la joie et la bonne humeur. Le mariage de Karl devait avoir lieu dans une semaine. Et nous avions fui. Mais sans Ariana, nous n’aurions jamais pu le faire. »





Damian avait fini par rejoindre de vieux amis à lui, encore au service du roi Cailan, qui se rendaient à Ostagar. Bien évidemment, il ne le fit pas clandestinement et demanda l’autorisation du souverain qui accepta avec l’habituelle bonne humeur qui le caractérisait : « Férelden aurait bien besoin d’hommes tels que vous. » Il prit ainsi congé des siens, enfilant pour la première fois depuis des années son armure et ceignant son épée. Le cœur serré, Elween l’avait observé quitter les terres du château avec son paquetage en travers des épaules, un grand sourire aux lèvres. Il avait longuement agité le bras vers elle, en signe d’adieu, jusqu’à ce qu’elle ne puisse finalement plus le distinguer clairement. C’était la première fois qu’elle le voyait aussi souriant et détendu. Il partait, en ayant l’air d’aller simplement rendre visite à un ami. Sauf qu’il n’était jamais revenu au final. Lui, ainsi que l’armée du roi et le souverain lui-même. Tous périrent lors de la bataille d’Ostagar qui se révéla être le début de l’Enclin. Cette fois-ci, personne ne vint avertir Sybille du décès de son époux. Mais elle n’en n’eut pas besoin. La nouvelle de la mort de Cailan Theirin se répandit comme une traînée de poudre dans tout Férelden, aussitôt suivie par l’annonce de la régence de Loghain Mac Tir qui ne fit, quant à elle, pas l’unanimité. Etait-ce le fait qu’il clamait, haut et fort, que les Gardes des Ombres étaient responsables de la mort du roi, qu’ils avaient trahi le peuple et, par ce fait, attiré le malheur ? Quelle que fut la raison, quelques banns refusèrent l’autorité de Loghain et faillirent déclarer une véritable guerre civile, alors même que l’Enclin grondait aux portes de Dénérim.

Malgré les funérailles de Damian, Sybille tenait à maintenir le mariage de Karl, qui aurait lieu dans une semaine jour pour jour. Elle s’affairait à ce qu’il soit parfait, sous tous les angles, dissimulant tant bien que mal sa peine grandissante sous un masque d’indifférence. Elween, alors âgée de vingt ans, avait rapidement comprit qu’il valait mieux laisser sa mère gérer seule sa douleur plutôt que de vouloir lui tendre une main compatissante. Elle passait donc la majeure partie de son temps à vagabonder dans les couloirs du château, richement parés pour l’occasion, et à se rendre dans l’armurerie où elle passait en revue les différentes armures et armes qu’elle contenait. Une habitude qu’elle avait fini par prendre, comme si elle pressentait les évènements à venir. Parfois, elle rendait visite à son aîné qui, au lieu de démontrer une nervosité de jeune marié, faisait preuve d’un flegme déstabilisant qu’elle attribuait au décès de leur père, qui avait toujours été un mentor pour lui. Damian et Karl se ressemblaient énormément, par leur amour de la guerre et leur manque d’intérêt évident pour les choses de la cour. Mais il savait se plier aux exigences, il savait ce que Sybille attendait de lui et ferait tout pour la satisfaire. C’était un jour comme les autres, une matinée encore trop froide et sombre. Le soleil peinait à se lever au-dessus des hautes tours du château lorsque l’attaque eut lieu. Profitant des ténèbres, un groupe important de bandits s’introduisit pour piller et massacrer les habitants. Avec la mort de Damian, les tours de garde avaient été laissés au bon soin des soldats. Sybille ne s’était jamais sentie très à l’aise avec les militaires, qu’elle évitait de son mieux. Ils n’étaient pas préparés à affronter une invasion, aussi minime soit-elle. Les effectifs étaient trop faibles, et l’effet de surprise suffit à les laisser sur le carreau.

Les cadavres s’empilaient, le sang ruisselait et les cris résonnaient dans les couloirs du château. Elween s’était éveillée alors que l’on ouvrait brutalement la porte de sa chambre et qu’on venait la tirer de son lit par les cheveux. Elle avait beau hurler à s’en éclater les tympans, elle avait beau se débattre en lançant ses mains un peu partout, elle ne parvenait pas à se défaire de la prise de son agresseur. En quelques secondes elle se retrouva à moitié nue sur le sol glacé, les yeux baignés de larmes et la vision brouillée par ces dernières. Son esprit comprenait déjà la situation alors que son corps, alourdi par le sommeil, l’empêchait de réagir de la façon dont elle l’aurait souhaité. Elle ferma les paupières, espérant ainsi se préserver du traumatisme à venir, lorsqu’elle sentit une flèche siffler à ses oreilles et atteindre sa cible. Le bandit s’effondra en face d’elle dans un horrible bruit de gargouillis, un long carreau d’arbalète fiché en travers de sa gorge. L’arme lui ayant sectionné la colonne vertébrale, il était déjà mort avant même d’avoir touché le sol. L’instant d’après, Karl était près d’elle et la recouvrait de ses bras protecteurs en lui murmurant de se hâter, de revêtir quelques vêtements et de l’accompagner jusqu’à l’armurerie. Grâce au soutien de son frère, Ween parvint à reprendre ses esprits. Elle attrapa sa tenue d’équitation, toute de cuir et qui convenait plutôt bien à la situation, l’enfila en ravalant les larmes qui s’attardaient sur son visage opalin et lui emboîta le pas. Sur sa pommette droite, cependant, subsistera un souvenir de cette funeste nuit. Une fine cicatrice à peine visible. Lors de leur fuite éperdue à travers le château, ils faillirent toutefois y laisser plus d’une fois la vie. Et alors qu’ils parvenaient enfin à l’air libre, un groupe de mercenaires leur barra le chemin. Ils n’avaient aucune chance, ils en étaient bien conscients. Mais Karl défendrait sa sœur au péril de sa vie, et elle ne le laisserait pas mourir seul. Ils brandirent leurs armes, sans l’ombre d’un espoir. La première explosion leur brûla la rétine. La seconde leur vrilla les tympans et les obligea à reculer. Ween fut la première à rouvrir les yeux. Et ce qu’elle vit lui glaça le sang. Ariana se tenait devant eux, auréolée de flammes et le regard meurtrier. Mais ce n’était pas eux qu’elle visait à l’aide de globes enflammés qui détruisaient tout sur leur passage… Lorsque le dernier homme s’effondra, elle tourna son visage vers eux et, aussitôt, paru redevenir elle-même. Elle posa même un genou à terre, apparemment terrassée par l’utilisation abusive de sa magie. Ils avaient à peine échangés quelques mots que de nouveaux ennemis faisaient leur apparition, coupant court à leurs retrouvailles. Karl et Ween prirent la fuite pour la deuxième fois, abandonnant leur sœur derrière eux et laissant la peur guider leurs pas.

« Ari ? »
« Je suis si contente de vous retrouver… »
« Tu étais au Cercle ! Comment es-tu parvenue à partir ? »
« Je me suis enfuie. Pour vous retrouver et vous venir en aide. Ne vous inquiétez pas, je ne les laisserais pas vous faire de mal. »
« Ari… »
« Fuyez ! »


Chapitre Quatre.
La guerre, c'est l'excuse que l'on sert lorsque l'on se rend compte que l'on a fauté, trahi, tué. Par simple plaisir.
9:30 (milieu) ▬ 9:30 (fin)
Spoiler:

Et, au fond de ses iris autrefois si familiers, elle ne voyait que mort et désolation.

Chapitre Cinq.
C'est lorsque l'on se croit perdu, abandonné de tous, que l'on découvre le regard protecteur d'une personne sur soi.
9:31 ▬ 9:35
Spoiler:

« Tu comptes rester là longtemps, gamine ? La nuit va tomber, tu vas te faire bouffer par le premier ours venu. »

Chapitre Six.
La Garde des Ombres, hein ? Pourquoi pas. Il faut un nouveau départ pour se donner la chance d'oublier le passé.
9:35 ▬ 9:36
Spoiler:

L’étalon renâcla sous sa cavalière, il gonfla ses flancs et expira l’air que contenaient ses poumons tandis que son sabot droit grattait doucement la terre boueuse.


Revenir en haut Aller en bas
¤~ Etre Suprême ~¤
Le Créateur

Le Créateur

Messages : 138

~~ Codex du personnage ~~

¤ Age
:

¤ Informations
:

¤ Arme(s) Fétiche(s)
:

Elween Teldaras [En Cours] Empty
MessageSujet: Re: Elween Teldaras [En Cours]   Elween Teldaras [En Cours] EmptyLun 2 Jan - 17:38

Cette fiche est-elle toujours d'actualité ?

En cas de non réponse d'ici une semaine, elle sera déplacée dans les fiches refusées, ce qui serait dommage puisqu'elle est déjà bien entamée.
Revenir en haut Aller en bas
https://dragonag.forumgratuit.org
¤~ Etre Suprême ~¤
Le Créateur

Le Créateur

Messages : 138

~~ Codex du personnage ~~

¤ Age
:

¤ Informations
:

¤ Arme(s) Fétiche(s)
:

Elween Teldaras [En Cours] Empty
MessageSujet: Re: Elween Teldaras [En Cours]   Elween Teldaras [En Cours] EmptyLun 9 Jan - 19:51

Cela fait maintenant une semaine, la fiche est transférée dans les "Fiches refusées".
Revenir en haut Aller en bas
https://dragonag.forumgratuit.org


Contenu sponsorisé


Elween Teldaras [En Cours] Empty
MessageSujet: Re: Elween Teldaras [En Cours]   Elween Teldaras [En Cours] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Elween Teldaras [En Cours]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» Harel Fen [en cours]
» Tandy [En cours]
» Zélel Couritana [en cours]
» Vaast Eärë. [En cours]
» Armand Zedkiel [en cours]
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Dragon Age Roleplaying : Votre Légende :: L'Arrivée :: 
La Naissance d'un Etre Unique
 :: Fiches refusées
-