Dragon Age Roleplaying : Votre Légende
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 Yngvi Nerelith

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AuteurMessage
¤~ Scientifique de la Garde ~¤
Yngvi Nerelith

Yngvi Nerelith

Messages : 82

~~ Codex du personnage ~~

¤ Age
: 82 ans

¤ Informations
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¤ Arme(s) Fétiche(s)
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Yngvi Nerelith Empty
MessageSujet: Yngvi Nerelith   Yngvi Nerelith EmptyMer 2 Nov - 10:13

Yngvi Nerelith
« I’m a cold hearted bitch. But i’m good at it. »


Yngvi Nerelith Yngvi

Garde des Ombres


    LA GLOIRE D'UN ETRE


    Nom :Nerelith
    Prénom(s) : Yngvi
    Genre : Homme
    Age : 82 ans

    Lieu de naissance : Amaranthine

    Statut Social/Profession : Roturier, Garde des Ombres


    OMBRES & LUMIERES

    Qualités : Déterminé, Ambitieux, Passionné, Fier, Érudit, Extraverti, Fidèle, Dévoué.

    Défauts : Aigri, Impulsif, Intransigeant, Joueur, Lunatique, Opiniâtre, Manque total d’éthique

    Secret(s) : A eu femme et enfants, autrefois.

    Anecdote(s) :Grâce à sa maîtrise de la magie du sang, a arrêté de vieillir il y a un peu plus de soixante ans.

    Le vieux mage possède une obsession bizarre : Les dragons Véritables ou sous forme d’archidémons, peu lui importe, il brûle de pouvoir en avoir un comme sujet d’expérimentation.




Physique & Caractère





Physique :
Un sourire perpétuel sur les lèvres, tantôt moqueur, tantôt charmeur, des yeux perçants, expressifs, d’un vert profond, un visage plutôt équilibré et aux traits fins sans être féminin, Yngvi aurait de quoi être fier de son physique s’il y accordait la moindre importance. Non pas qu’il ne prenne pas soin de lui, au contraire, il se fiche simplement de plaire aux autres. Le mage fait ce qu’il peut pour garder se garder en bonne forme et fonctionnel, avec de l’exercice, ce qui fait que sa carrure bien que fine et élancée, est aussi musclée. Une musculature fine et assez peu dessinée. Niveau taille, il est plutôt grand, atteignant 1m86. Différentes marques rouges lui mangent le corps, signe d’une pratique trop intensive de la magie du sang, et l’une d’entre elles est on ne peut plus visible, s’étendant sur une partie de son visage.

Il est rarement vu sans son long manteau noir, tout en fourrure et en plumes, hormis peut-être lorsque la chaleur lui impose de le retirer. En dehors de ça, ses tenues se comportent généralement d’un pantalon – car il est peu adepte de la robe de mage – et d’une tunique, le tout dans des tons gris et sombres.

Caractère :
Dire que l’apostat est compliqué est un euphémisme. La plupart de ses camarades Gardes des Ombres sont d’accord pour dire qu’un Enclin est moins compliqué à gérer que les lutineries d’Yngvi.

Commençons par les limites, c’est bien simple, le mage possède un gros problème avec ce concept. S’il comprend l’importance de respecter les lois, pour ne pas attirer l’ire des puissants sur son organisation, les limites morales lui paraissent en revanche bien plus inutiles. En tant que scientifique, il estime que rien ne saurait le retenir de faire des progrès dans les différentes matières qui l’intéressent. Même si cela implique une utilisation prolongée de la magie du sang, de profaner des tombes, ou d’expérimenter sur des gens vivants et pas toujours consentants. Cependant, loin d’être sadique, il ne fait jamais souffrir personne inutilement, et pense que ses travaux sont tout simplement nécessaire à l’accomplissement de son devoir. Un devoir noble et d’une importance capitale : Protéger les gens.

Car oui, malgré sa morale douteuse, Yngvi est on ne peut plus dévoué à la cause de la Gardes des Ombres. Au point même ou, ayant trouvé un moyen de ne plus vieillir, tout son temps ou presque est mis uniquement à contribution dans le but d’aider les siens. De nouveaux soins, de nouvelles manières de détruire l’engeance, de nouvelles manières de renforcer les pouvoirs de ses camarades, tout est fait que pour que chaque membre de la Garde soit encore plus efficace et mortel que jamais.

Mais tout ceci, la jeunesse éternelle, sa formidable puissance, à un prix. Certains diront : Sa santé mentale. Que nenni, Yngvi réfute ces postulats. S’il se reconnait volontiers un peu sénile, il niera fermement toute forme de folie. Il sait ce qu’il est, il sait ou il va, a des objectifs clairs et précis. Mais qu’est donc le prix qu’il paie, alors ? La réponse est simple : La solitude, avec un grand S.

Car s’il recherche volontiers le calme et la tranquillité pour pouvoir travailler, le mage n’en reste pas moins un être humain, un animal sociable et bien que particulièrement difficile à comprendre et a apprécier, amical. Ainsi, peu de gens l’acceptent ou le comprennent réellement. Il le sait, il suscite la peur, le dégout, les deux, ou même parfois pire. Et même s’il est vrai que son comportement ouvertement provocateur et désinvolte n’aide absolument pas, sa solitude lui pèse. Et pourtant, Ô grand paradoxe, Yngvi déteste se lier réellement avec quelqu’un. Parce que la perte d’un être cher, il l’a trop expérimentée. Invariablement, les gens meurent, à cause d’une engeance ou de la vieillesse, et lui, en surdoué de la survie, reste seul, et survivant encore et encore aux affres de la vie. Ainsi, lorsqu’il apprécie réellement quelqu’un, le vieux mage préfère jouer avec. Provoquer, se moquer, en rire, le plus souvent jusqu’à lasser ou énerver durablement ses congénères. Il se protège ainsi d’une relation dont la fin sera douloureuse. Et c’est pour éviter que l’on s’attache à lui qu’il se montre changeant, difficile à comprendre, pas toujours gentil, et surtout, surtout, qu’il ne montre jamais réellement son ressenti, en bien ou en mal. Cela ne l’empêche pas de veiller sur les gens auxquels il tient, et il peut même se montrer assez bienveillant envers tout un chacun – tant qu’on ne lui donne aucune raison d’être une peste.
L’aposta déteste aussi qu’on évoque son passé sans son accord. Il lui prend parfois des accès de mélancolie qui lui donnent envie d’en parler, mais la plupart du temps, il préfère laisser le passé être ce qu’il est.

Au delà de ses relations houleuses avec les gens, il est plutôt simple. Il aime les choses simples. Un beau couché de soleil, un bon repas, un lit douillet, du bon Lyrium – car il en prend de temps en temps, pour s’éclaircir les idées – toutes ces petites choses du quotidien, il a apprit à les apprécier. Il dessine, pas trop mal, sa spécialité restant les croquis anatomiques et les planches scientifiques, adore les longues discussions philosophiques autour d’un bon feu, et se débrouille plutôt bien en cuisine.

Il est dur avec lui-même, déteste la complaisance, et se lance a fond dans absolument tout ce qu’il fait. Son problème avec les limites s’exprime aussi vis-à-vis de lui, car il dépasse souvent les limites de son propre corps. Et enfin, sans doute son plus gros défaut : Il est bien trop sur de lui, et cela le mets régulièrement en position difficile. Il ressent aussi un besoin maladif d’être utile, et d’embêter les templiers.










Un jour dans la peau d’un Garde



Dehors le soleil brillait, mais d’épais rideaux empêchaient tout rayon d’éclairer la pièce. Celle-ci, illuminée uniquement par un certain nombre de bougies, était grande, et complètement désorganisée. Il ne s’agissait à ce stade même plus de bordel, dans lequel on arrivait le plus souvent à retrouver une logique et ses affaires en un temps acceptable, mais bel et bien de désorganisation pure et dure.

Tenez, le lit par exemple, on se serait attendu à ce qu’il accueille un corps endormi, quand ici de nombreuses feuilles de papier, des vêtements, des restes de nourriture et même un rat y avaient élu domicile. Le sol était jonché de feuilles, de poussière et de livres. Les étagères, qui auraient du être pleines de livre, se trouvaient recouvertes de crasse, d’ingrédients alchimiques indéfinissables, de babioles inutiles, dont certaines étaient brisées sur le sol, ou de bougies éteintes dont la cire avait coulé partout.

Le reste de la maison était une parfaite répétition de ce schéma de désorganisation intense, et il aurait été dur de croire que quelqu’un pouvait en effet y vivre. A moins bien sur, de se rendre dans le laboratoire de l’animal qui peuplait ces lieux.

Yngvi s’y trouvait en ce moment même, penché sur un livre. Dans le bureau, il y avait quelques feuilles sauvages qui se baladaient un peu partout, mais c’était tout. Le mage s’éloigna de son livre de quelques pas, pour s’approcher d’un bol contenant un épais mélange verdâtre, dans lequel il ajouta le contenu d’une fiole de sang frais. Il n’y eut pas d’explosion, la mixture ne changea pas subitement de couleur, tout au plus quelques bulles à l’odeur nauséabonde lui échappèrent-elles.

De nouveau, le mage fit quelques pas et nota ses observations dans un épais volume. Ses recherches lui prenaient la majeur partie de son temps. Elles touchaient à tout, mais avaient en général pour but d’agrandir l’arsenal de la garde des ombres. Sa dernière trouvaille – des appâts pour engeance auxquels ils étaient censés ne pas pouvoir résister – était presque finalisée. Le vieux mage se laissa donc tomber dans le fauteuil le plus proche, et chercha à se rappeler de la date. Quelques jours s’étaient sans doute passer depuis le moment ou il avait commencé à travailler. Cela lui arrivait souvent, de s’oublier complètement à ses recherches…Et comme son ventre le lui rappela, il s’oubliait même jusqu’à ne plus manger.



A une époque, sa femme ne l’aurait pas laissé ainsi, seul dans son laboratoire. A une époque, Alicia serait venue lui botter le cul sans douceur aucune pour le faire venir à table, et l’aurait tiré par les oreilles pour qu’il vienne se coucher. Le côté brute de sa douce l’avait beaucoup amusé, parfois agacé. Maintenant, il lui manquait énormément. Un peu plus de quarante ans depuis qu’elle était morte, ayant succombé à l’appel après la mort de leur fils, et l’un comme l’autre lui manquaient toujours autant. Il avait fait son deuil, n’avait jamais tenté de les réanimer, et avait plus ou moins réussit à passer à autre chose, les années aidant. Mais presque chaque jours, ils venaient visiter ses pensées.

Yngvi était fort, mais il avait conscience que sans doute jamais la pensée de sa famille ne le quitterait réellement. L’apostat qu’il était n’avait pas cherché à se lier à nouveau avec quelqu’un après ce drame, tout au plus avait-il quelques personnes et quelques connaissances qu’il appréciait réellement, mais il cherchait à se protéger de l’attachement autant que possible. C’était trop douloureux, car ils étaient la seule famille qu’il avait jamais eu.

Envoyé au Cercle à l’âge de six ans par sa mère, peu présente et peu attentive aux besoins de son enfant, il fut élevé par les templiers. Peut-être était-ce la raison qui faisait qu’Yngvi les adorait tant, ses amis les templiers. Un amour vache, car il se contentait la plupart du temps de les faire tourner en bourrique. Quoi qu’il en soit, le garde des ombres faisait partie de ces mages qui gardaient un bon souvenir de son temps au Cercle. Sans doute parce qu’il avait pu en sortir et finalement gouté à la liberté. Ses seuls regrets quant à sa jeunesse passée auprès des autres mages et templiers, était justement l’un de ces derniers. A l’époque jeune comme lui, le mage s’était beaucoup amusé à le provoquer, jusqu’au moment ou l’autre céda à ses avances. Ils avaient l’habitude de donner libre cours à leur passion dans la réserve, à l’abri des regards. Jusqu’au jour ou ce templier marcha sur ses sentiments sans réellement le vouloir, lui annonçant un mariage organisé par sa famille orlésienne. Ce fut sa première histoire de cœur, tout juste adulte, et il s’en remit…Plutôt bien. En apparence. Les deux jeunes hommes restèrent tout à fait courtois l’un envers l’autre, et leur relation ne fut bientôt qu’un vieux souvenir. En réalité, après avoir vécu son envoi au Cercle comme un abandon de la part de sa mère, Yngvi vécu le mariage de son amant comme un abandon aussi. Durant longtemps, il fut en colère, et la colère se mua en regret, petit à petit, jusqu’à ce qu’il passe définitivement à autre chose, quelques temps plus tard.

L’évènement qui l’aida à aller au delà de ça fut sans doute son recrutement parmi la garde, quelques temps plus tard. Puissant et pressenti pour remplacé le premier enchanteur qui se mourrait lentement de vieillesse, son potentiel fut remarqué par la garde. Ni une, ni deux, il fut emmené après que la garde eut utilisé son droit conscription, et survécu à l’initiation. S’ouvrit alors à lui un nouveau monde plein de possibilités. Les restrictions du Cercle ne comptaient plus, et il se plongea corps et âme dans son devoir, ses recherches. Rapidement, il prit conscience qu’il était bien plus utile à la garde en tant que scientifique que comme guerrier, et l’utilité desdites recherches achevèrent de convaincre ses camarades. Il avait presque trente ans et avait arrêté de vieillir depuis presque cinq ans lorsqu’il rencontra Alicia.

Une garde, elle aussi. Survivante d’un massacre d’engeance, elle avait décidé de se porter volontaire pour les rejoindre, et des atomes crochus s’étaient vite formés entre le scientifique et la guerrière. Malgré leur rôles respectif et leur appartenance à la garde, en temps de paix relative, ils avaient eu un enfant. Ce n’était pas réellement prévu, ni voulu, et ce ne fut pas très bien accepté, mais une fois le petit dans le ventre de la mère, qui aurait pu y faire quoi que ce soit ? Il était trop tard pour reculer. A l’aide d’une nourrice et de beaucoup de temps sacrifié sur ses entrainements pour Alicia, sur ses études pour Yngvi, ils s’en sortirent a peu près.
Jusqu’au jour du drame. Le père absent pour ses recherches. La mère et le petit étaient restés en arrière, dans la petite maison en bordure du petit village ou ils avaient placé la nourrice et l’enfant. L’engeance se montra particulièrement coriace ce jour la, et même la présence de deux gardes des ombres dans le coin n’y fit rien. Presque tout le village fut rasé et l’enfant perdit la vie. Les deux parents furent dévastés par l’évènement. Si Yngvi, dans toute sa froideur et sa retenue, intériorisa la blessure et tenta de s’en remettre, décidé plus que jamais à annihiler l’engeance, sa moitié ne réussit pas à faire de même. Sans s’effondrer pour autant, Alicia était éteinte. Plus de volonté de combattre, plus de volonté de survivre. L’appel ne tarda pas à résonner dans ses cauchemars, et c’est un matin sans dire au revoir qu’elle s’en alla pour Orzammar, s’enfonça seule dans les tréfonds, et ne donna plus jamais de nouvelles.

Yngvi souffrit cet énième abandon en silence, comme toujours. La peine était intense, la colère, non, la rage même, lui mangeait les intestins. C’est après ces évènements qu’il se forgea sa volonté, qu’il lui donna forme. Désormais, sa vie entière ne serait plus dédiée qu’a éliminer l’engeance. Durant un temps, il s’engagea dans des combats féroce face à ces créatures, puis, une fois la rage apaisée, retrouva le chemin de son laboratoire et de ses expérimentations.
De mage puissant, il passa au statut de mage démentiellement puissant. Le lyrium l’aida à calmer sa peine, et l’aida à entrevoir de nouvelles possibilités, de nouveaux chemins. Il n’était pas obligé de mourir tel un simple humain. Il pouvait vivre pour toujours, accroitre sa puissance et son savoir, et prendre sous son aile tout un continent s’il le voulait. C’est petit à petit donc que lui vint la volonté de sacrifier et de donner toutes ses années de vie, peu importe qu’elle soit longue ou courte, pour protéger les gens, criminels ou vertueux, des horreurs que représentaient l’engeance.

Aujourd’hui, arrivé à l’âge de 82 ans, il a complètement embrassé son rôle et son devoir de protecteur. Bien que malicieux, et à la morale douteuse, Yngvi est prêt à tout pour accomplir ce qu’on attend de lui.




Roleplayeur



Yngvi Nerelith 80893655888


Pseudo
    JE TE VOIS !

    Comment ça va ? : Très bien et vous ? Vous habitez encore chez vos parents ?
    Tu es sûr(e) ? : Plutôt oui.
    Bon bon, si tu le dis. Et tu as autre chose à dire, d'ailleurs ? : T’as d’beaux yeux, tu sais.
    Comment es-tu arrivé parmi nous ? : En cliquant sur un lien. Innovant, non ?

    Si je te dis... Rouge, tu réponds ? : Aussi rouge que la passion que j’éprouve en te regardant.
    Et violet ? : Tu ferais un malheur avec des dessous de cette couleur.
    Bon, j'arrête de t'embêter... Ou pas ! : Oh non, n’arrête jamais : 3

    Mais si, bienvenue et bon jeu !

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http://zyanidft.deviantart.com/
 

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